Anne Philippe | PUBLICATIONS
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A PARAITRE  :

 

Ville à vendre, le ciné-urbanisme ou l’institut de l’environnement comme cabinet d’optique 

Dossier dans la Revue en Ligne Furia Umana : « Tracer les villes : symphonies urbaines à rebours dans les dispositifs filmiques »,  numéro 40/2021 

 

La plage noire ou la correlativité de la présence

Chapitre de l’ouvrage:  Présence/absence. les battements du contemporain (dir. Alain Mons), Bordeaux, éditions de la msha

 

 

RESUMES ARTICLES :

 

La plage noire ou la correlativité de la présence

 

dans Présence/Absence. les Battements du Contemporain (dir. Alain Mons), bordeaux, éditions de la msha, 2019, à paraître.
Anne Philippe.

Il n’y a rien d’inhumain dans une ville, sinon notre propre humanité.
George Perrec, Espèces d’Espaces

Nous questionnerons les modes de présence à partir de l’expérience de la traversée à l’œuvre dans les cinétopies, terme volontairement générique et ouvert se rapportant à certaines pratiques de l’art contemporain à la croisée des frontières disciplinaires, mais forgé à partir de la singularité de ma pratique d’artiste : : cinéaste et architecte. Il s’agit ici de préciser ce que recouvre l’expérience cinétopique quand elle se situe hors du musée et des lieux culturels et artistiques et investit des territoires à faibles légitimités, (Jean Rémi), lieu de relégation, d’exclusion ou de marginalité, de catastrophe. Comment dans les cinétopies se côtoient le paradigme esthétique et le paradigme politique ? Notre questionnement porte donc dans un premier temps sur « l’efficacité » esthétique et poétique des cinétopies, entendues comme l’efficacité d’une distance, d’une disjonction, d’un dissensus. (Rancière). Comment l’exercice du regard médié par la danse, la photographie ou la vidéo participe à une forme de communauté urbaine émancipée dans laquelle la présence émerge dans le rapport aux lieux et à l’autre ? Un des traits saillant des cinétopies est l’importance accordée au temps comme matériaux d’émancipation du regard. A travers ici la reprise ici d’un exemple de création, nous préciserons comment l’expérience de la traversée transforme les regards tout aussi bien que la présence dans la ville et contribue à retisser une intimité territoriale partagée.

L’Archipel d’ESTANN ou l’Expérience de la Traversée :
Émergence de lieux « cinétopiques » à la croisée du Cinéma et de l’Architecture

 

dans Pensée de l’archipel et lieux de passage (dir. Dominique Faria), Paris, éditions Pétra, collection « Des îles », 2016, p. 143-162

 

Résumé

Notre communication porte sur l’analyse de l’espace archipélique propre au collectif de recherche artistique  Estann, (www.annephilippe.fr) dont les œuvres transdisciplinaires se situent à la croisée de l’architecture, de l’art et du cinéma. Cet espace archipélique fait largement écho à la pensée archipélique déployée par Edouard Glissant, comme une invite à aborder le cinéma et l’architecture lorsqu’ils communiquent par « leur bord ». Ce faisant, leurs visées se transforment : il ne s’agit plus de construire des mondes, mais d’engager le spectateur-usager à construire son propre rapport au monde à partir de l’expérience toujours renouvelée de la traversée. S’invente de ce fait un spectateur, actif, acteur. Ces traversées mettent à jour un espace cinématographique nouveau, en perpétuel devenir, en même temps qu’elles génèrent des espaces autres, des ailleurs contenus dans les lieux. Ainsi, quelque chose des singularités du « milieu » se fait jour, en même temps que se donne à entendre le « bruit du monde ». (Glissant, 1977).

 

Mots-clés

Archipel, architecture, art, cinéma, traversée.

 

Références bibliographiques

Adorno, Théodor. 2002. L’art et les arts, choix de textes, trad. Jean Lauxerois, Paris, Desclée de Brouwer.
Agamben, Giorgio. 2015. Le feu et le récit, Paris, Editions Payot, p.65
Berque, Augustin. 1993. « L’écoumène, mesure terrestre de l’homme, mesure humaine de la Terre : pour une problématique du monde ambiant », Espace géographique, Vol. 22, n° 4, pp.299-305.
Berque, Augustin. 1986. Le sauvage et l’artifice, Paris, Gallimard.
Broch, Hermann 1955. La mort de Virgile, Paris, Gallimard.
Deleuze, Gilles. 2003. Deux régimes de fous et autres textes, Paris, Éditions de Minuit, Collection « Paradoxe ».
Gibson, James. 1979. The Ecological Approach to Visual Perception, Houve, Psychology Press.
Glissant, Edouard. 1990. Poétique de la relation, Paris, Gallimard.
Moreau, Alain. « Le Marbre et le Celluloïd », site Internet : Annephilippe.fr
Page, Suzanne. (dir.), 1994. Bob Irwin,  Paris, Musée d’Art Moderne Paris.
Smithson, Robert. 1971. Le paysage  entropique 1960/1973, Marseille, MAC, Galeries Contemporaines des Musées de Marseille, ,
Thoumson, Roger. 2004. L’utopie perdue des îles d’Amériques, Paris, Honoré Champion.

2018, dans Ambiances, tomorrow. 3rd International Congress on Ambiances. Vol. 1, p. 361-366. Disponible sur : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01409730/document
1. LAVUE – UMR LAA, Ecole Nationnale Supérieure d’Architecture de Normandie, France, annephilippe@orange.fr

 

Abstract

L’auteur se propose d’aborder les ambiances à partir du prisme des cinétopies et plus particulièrement à partir d’une oeuvre musicale de Nicolas Frize. Si le travail de l’artiste fait référence principalement à la notion de paysage sonore, qu’en est-il lorsqu’on l’appréhende en termes d’ambiance? En retour, en quoi les ambiances ainsi révélées nous éclairent sur la nature de l’ambiance à l’oeuvre dans les cinétopies? Cette intervention est l’occasion de mettre à l’épreuve ces questionnements trés généraux à partir d’un exemple précis et de la dialectique de l’intensité qu’il met en oeuvre.

 

Keywords

intime, extime, cinétopie, collectif, archipel, Corps sans Organe

 

Article

En laissant venir à moi les promesses que porte le titre de ce troisième congrès « Ambiances de demain », en projetant ma venue prochaine sur cette terre grecque en pleine ébullition et en reliant ce « demain » avec le « aujourd’hui » de mes recherches, est née l’idée de mon intervention qui pourrait venir nourrir, par le détour de l’expérience propre à certaines œuvres artistiques, une réflexion critique sur le devenir sensible et intensif du quotidien. Dans ce que j’ai nommé cinétopie[1], le présent est un présent toujours en train de se faire, en devenir, et le territoire ne s’appréhende qu’en tant qu’il est traversé. Le travail propre à l’art cherche à faire advenir de l’inattendu, de l’inouï, de l’inespéré, ou peut–être, simplement, de révéler l’intensité et la puissance inventive et poétique du réel. Dans les cinétopies, le temps ne se projette pas, il s’éprouve collectivement. Si l’ensemble de l’œuvre en rhizome[2] de Nicolas Frize témoigne, au travers des ambiances générées par les paysages sonores qu’il crée, de ce devenir intense du présent pris dans le quotidien des lieux et des gens, celui-ci résulte d’une dialectique de l’intime et l’extime à chaque fois rééprouvée, renouvelée. Dans son ouvrage : « De l’intime », François Julien nourrit le projet de repenser l’extime, non pas en tant qu’elle sert à décrire la seule dialectique interne au plaisir (Lacan) mais en tant qu’elle pourrait être employée à penser le « vivre à deux » d’une manière moins bruyante, plus intense, plus inventive, plus aventureuse. Si l’œuvre de Nicolas Frize nous invite à rêver que cette dialectique de l’intensité puisse être au service, non plus seulement d’un « vivre à deux », mais d’un « vivre à plusieurs »[3], nous nous proposons ici de la questionner dans sa relation avec les ambiances, à partir de l’expérience vécue d’un de ses derniers concerts « Le chant de la chair / la chair du chant »[4]. Ce concert : « Le chant de la chair/la chair du chant » se compose de deux parties séparées par un court entracte technique. Dans la première partie, 80 personnes amateurs interprètent, face au public, une partition basée sur le toucher de leur peau. Dans la seconde partie, le public est convié à improviser avec les sons de sa bouche une partition projetée.

 

Bibliographie

Augoyard J-F (1998), Eléments pour une théorie des ambiances architecturales et urbaines in Les Cahiers de la recherche architecturale, 3ème trimestre, n°42/43 Ambiances architecturales et urbaines, pp.7-23.
Berque A. (2000), Ecoumène, intr. à l’étude des milieux humains, Paris, ed. Belin
Deleuze G. Guattari F. (1997), Milles Plateaux, Paris, ed. Minuit
Deleuze G. (1988), Le pli, Lebniz et le baroque, Paris, ed. Minuit
Frize, Nicolas, (1998), Sortir le son de l’anonymat, in C. Saada (dir), Inhibition et cultures, GAREFP et Réciproques (eds) Ed L’Harmattan, coll. Pratiques de la folie
Glissant É. (1990), Poétique de la relation (Poétique III), Paris, Gallimard
Julien F. (2013), De l’intime, loin du bruyant amour, Paris, ed. Grasset & Fasquelle
Labussière, Olivier, Flux, ambiances et ré-enchantement du monde », Ambiances [En ligne], Représentation – Traduction – Ecriture, mis en ligne le 09 février 2013, consulté le 10 avril 2016.
URL : http://ambiances.revues.org/141
Merleau-Ponty M. (1964), Le visible et l’invisible, ed. Gallimard
Philippe A. (à paraître en 2016) L’archipel d’Estann où l’expérience de la traversée, émergence de lieux « cinétopiques » à la croisée du cinéma et de l’architecture in  E. Fougère (dir) Pensées de l’archipel et lieux de Passages,  ed.Pétra, Paris, Coll. Des îles
Thibaud Jean-Paul. (2002), L’horizon des ambiances urbaines. In P. Bonnin. (dir), Communications, 73, Manières d’habiter, pp. 185-201.

Anne Philippe

[1] Loin d’un instrument relevant uniquement de l’optique et du son, les cinétopies qualifient  les processus de transformation-création faisant se tenir ensemble architecture et art(s) le temps que se révèlent, par les multiples traversées qu’il génère, la complexité sensible du lieu, sa nature archipélique.

[2] Voir à ce sujet le site de l’artiste :  www.nicolasfrize.com

[3]L’une de ces oeuvres se nomme d’ailleurs « Intimités » et a été jouée dans les lieux mêmes du travail (usine). Elle a été interprétée par les personnes travaillants dans les lieux accompagnées de musiciens.

[4] Ce concert a été repris en Avril 2016 à la Maison des Pratiques Artistiques Amateurs à Paris et été joué précédemment en 1995 en France et au Japon

Le corps à l’oeuvre dans les cinétopies : Corps Liquide, Corps sans Organe

Le temps à l’œuvre dans les cinétopies : les temps de l’archive de Nicolas Frize

dans Représenter la transformation (dir. Stéphane Bonzani, Alain Guez), Paris, éditions de L’Œil d’or, 2019

« … Il existe un rendez-vous tacite entre les générations passées et la nôtre. Nous avons été attendu sur la terre. A nous comme à chaque génération précédente, fut accordée une faible force messianique sur laquelle le passé fait valoir une prétention. Cette prétention, il est juste de ne point la repousser. »
Benjamin, Oeuvres III, P.429 [1]

A l’instar du générique de début du film : Hélas pour moi de Jean-Luc Godard, et en guise d’ouverture de son livre Le feu et le récit [2], le philosophe Giorgio Agamben relate une ancienne légende faisant état de la perte progressive de générations en générations, des lieux et gestes propices à ce que quelque chose advienne : se rendre à une certaine place dans les bois, allumer un feu, dire la formule afin que la tâche à accomplir se réalise. Prenant acte de la perte du souvenir de ces actions au fil du temps, les auteurs postulent que la capacité des hommes à mettre en récits l’histoire « suffit à ce que la tâche puisse s’accomplir ». Ce faisant, ils accordent aux récits, qu’ils soient ici cinématographiques ou littéraires, un potentiel que l’on pourrait qualifier à l’instar de Walter Benjamin de « faible » valeur messianique, potentiel de transformation du temps historique par l’art. Cette temporalité n’est plus celle du temps linéaire de l’histoire : elle se construit entre autres par le montage cinématographique, littéraire, plastique, musical, mais a une incidence sur l’histoire dans la mesure où elle convoque des types de récits singuliers qui réagencent le temps historique en fonction d’une pluralité de situations, de postures qui font surgir une pluralité de lieux.

C’est précisément ce potentiel de transformation porté par les récits que nous questionnerons ici, ces montages de temps dans leur possibilité de faire advenir l’événement comme une manière d’habiter les lieux, d’en révéler la teneur historique, poétique et politique, de la construire.

 

Les cinétopies, le projet et le concept

Nous aborderons ces questionnements à partir du prisme des cinétopies[3]. Au fur et à mesure de nos recherches, il nous a paru nécessaire de nommer, inventer un mot capable de qualifier ces processus de transformations des lieux par l’art, de trouver une prise qui nous permette de penser de nouvelles formes d’espace-temps où poétique et politique se rejoignent dans ce moment de transformation. Loin d’un instrument relevant uniquement de l’optique et du son, les cinétopies[4] qualifient un certain type de travail de transformation de situations humaines, spatiales et temporelles, en invitant acteurs et spectateurs à se ressaisir poétiquement des lieux à travers ses mises en récits par l’art : le cinéma, la musique, la photographie, la danse etc. Mais quels sont les rapports au temps engagés dans les cinétopies ? Comment se tissent les récits qui transforment les lieux ? Comment ces récits agissent sur les lieux, les transforment ? Comment produisent-ils une brèche dans l’espace et les dispositifs existants ?

 

Références bibliographiques

 

Ouvrages

AGAMBEN Giorgio, Le feu et le récit, Payot, 2015
BENJAMIN Walter, Oeuvres III, éd. Gallimard, chap. 12 « Sur le concept d’histoire » coll. Folio Essai, 2000
BENJAMIN Walter, Paris, capitale de XIXe siècle, Cerf, 2006, [1934].
DUMANOIR Thierry, De leurs Cellules, le bleu du ciel, le développement culturel en milieu pénitentiaire, L’atelier, 1994
FOUCAULT Michel, L’archéologie du savoir, Gallimard, 1969
FRIZE Nicolas, Le sens de la peine, Léo Scheer, 2004
GLISSANT Edouard, Traité du Tout monde, Gallimard, 1997

 

Revues

Revue Lignes N°27, Temps historique, temps messianique, (ss. la dir. SURYA, Michel) COHEN-LEVINAS Danielle, « Temps et contre temps – le messianisme de l’autre » 2008, p.82

 

Catalogue

FRIZE, Nicolas, Silencieusement, éd. des Musiques de la Boulangère, 2015.

 

Articles

PHILIPPE Anne, « L’archipel d’Estann ou l’expérience de la traversée »,  Pensée de l’archipel et lieux de passage », Petra, coll. des îles, 2016.
PHILIPPE Anne, « Introduction à la ciné-architecture de Alain Moreau », octobre 2015, acte des cadre des journées d’études « architecte cinéaste, cinéaste architecte », à paraître.

 

Articles sur internet

DELLA SAVIA Céline, « Les ateliers de sous-traitance de numérisation des archives sonores au Centre de détention de Poissy (Yvelines) »,
Bulletin de liaison des adhérents de l’AFAS [En ligne], 25 | automne 2003, mis en ligne le 01 octobre 2003, consulté le 15 novembre 2015. URL : http://afas.revues.org/830
« Audition de M. Nicolas FRIZE, responsable de la commission prison de la ligue des droits de l’homme », Réseau Voltaire, 23 mars 2000, www.voltairenet.org/article7992.html
http://www.nicolasfrize.com/?id=24)

[1] BENJAMIN, Walter, Oeuvres III, ed. Gallimard, chap. 12 Sur le concept d’histoire coll. Folio Essai, 2000, p.427-443.

[2] AGANBEM, Giorgio, Le feu et le récit, Editions Payot, 2015, p.7

[3]  Ce concept qui puise ses fondements dans le travail de recherche et l’expérience artistique menés par le collectif Estann autour des processus de transformation des lieux par le travail de l’art. Pour plus de détails, voir l’article : PHILIPPE Anne, L’archipel d’Estann ou l’expérience de la traversée, actes du colloque : « Pensée de l’archipel et lieux de passage », Université des Açores, 2014, à paraître Nov. 2015

[4] Les cinétopies pourraient alors être considérées comme des opérateurs de traversées révélant la complexité de la réalité sensible celle propre au milieu, et engageant un processus complexe de déterritorialisation/reterritorialisation à chaque fois singulier, unique. (ndl.)

Dernières publications et projections-rencontres

2020

La plage noire ou la correlativité de la présence, dans Présence/absence. Les battements du contemporain (dir. Alain Mons), Bordeaux, éditions de la MSHA, à paraître

Le temps à l’œuvre dans les cinétopies: les temps de l’archive de Nicolas Frize, dans Représenter la transformation (dir. Stéphane Bonzani, Alain Guez), Paris, éditions de L’Œil d’or, 2019

 

2018

Rhizome, Nicolas Frize, une poétique de la discontinuité [en ligne], 2018. Dans Ambiances, revue internationale en ligne. Disponible sur  : https://journals.openedition.org/ambiances/410

1983-1997 : le projet Télérencontres : archéologie d’un acte de liberté, 6 et 7 décembre 2018. Journées d’études internationales : (se) représenter la prison, l’univers carcéral en images. Paris, Carreau du Temple, Direction de l’administration pénitentiaire, ministère de la Justice, à paraître, collection « travaux et documents », sur la revue en ligne de l’Administration pénitentiaire

L’archipel d’Estann ou l’expérience de la traversée: émergence de lieux « cinétopiques » à la croisée du cinéma et de l’architecture, dans Pensée de l’archipel et lieux de passage (dir. Dominique Faria), Paris, éditions Pétra, collection « Des îles », 2016,  143-162

Cinétopies, mettre en œuvre la philosophie dans une perspective cinétopique. Conférence, université de Montpellier, dans le cadre d’un stage de formation des professeurs de philosophie autour du cinéma dans l’enseignement (dir. Véronique Fabbri)

Changer la vie, l’architecture soviétique des années vingt (réal. Alain Moreau, Anatole Kopp). Projection-débat à Malaquais, dans le cadre de l’exposition « Architecture de l’avant-garde russe », ENSBA (commissaire d’exposition Jean-Louis Cohen) Intervenants : Jean-Louis Cohen, Élisabeth Essaïan, Anne Philippe, Ariela Katz, école d’architecture de Paris-Malaquais

 

2016

Le corps à l’œuvre dans les cinétopies : corps liquide, Corps sans Organes, [en ligne], 2018, dans Ambiances, tomorrow. 3rd International Congress on Ambiances. Vol.1, p. 361-366. Disponible sur : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01409730/document

« La ciné-architecture », Conférence organisée par Images en Bibliothèque, INHA et BPI pour les Journées nationales de formation Cinéma et Architecture

 

2015

Introduction à la ciné-architecture. Conférence. Journées d’études: Architecte cinéaste, cinéaste architecte, 14-15 octobre 2015, en partenariat avec l’INHA, la FEMIS, l’ENSA Normandie